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Chaque automne, Neuvy-Saint-Sépulchre devient le terrain de jeu privilégié des amateurs de vélo tout-terrain et de gravel.

L’édition 2025 de la Transberrichonne n’a pas dérogé à la règle : elle a même confirmé, une fois encore, la réputation d’un rendez-vous pour tous ceux qui aiment explorer les chemins berrichons.

Un départ en fanfare pour les gravel riders

Le dimanche 9 novembre, une centaine de cyclistes avaient choisi de s’élancer en gravel sur trois parcours exigeants de 90, 120 et 150 km. Direction : la vallée de la Garenne et les paysages sinueux qui mènent jusqu’à Gargilesse.
Les conditions étaient idéales et l’organisation parfaitement huilée, ce qui a permis à chacun de profiter pleinement de sa journée. De retour à Neuvy, les participants ont été accueillis comme il se doit autour d’un repas convivial, fidèle à l’esprit chaleureux de la Transberrichonne.

Place aux vététistes deux jours plus tard

Le mardi 11 novembre, ce sont cette fois 300 adeptes du VTT qui ont pris possession des lieux. Portés par un temps clément et une ambiance toujours bon enfant, ils ont été accueillis par Guy Brulon et Jean-Marie Allègret.

Les parcours de 25, 45 et 65 km avaient été soigneusement tracés pour faire découvrir des sites emblématiques du secteur, dont le viaduc de Cluis, toujours impressionnant. Une atmosphère simple, authentique, presque “terroir”, qui fait la marque de cette manifestation.

Un petit bémol… vite surmonté

Comme souvent lors d’événements d’envergure, une poignée de personnes mal intentionnées ont tenté de perturber la fête en détériorant une partie du balisage. Heureusement, ces incidents sont restés marginaux et n’ont pas entamé la motivation ni la bonne humeur des participants.

Une édition qui laisse des souvenirs

Entre paysages variés, efforts partagés, découvertes et convivialité, la Transberrichonne 2025 restera comme un grand cru. Un moment où le sport rejoint la culture locale, où les gravel et VTT  viennent se mesurer non pas aux autres, mais au plaisir simple d’être sur le vélo.

Vivement l’édition 2026 !

Article J. POIRIER

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