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Double constat :
– L’engouement pour le GRAVEL est général (cf réseaux, nouvelles revues, livres consacrés aux différentes pratiques
– le développement du Gravel dans nos pratiques peut attirer vers notre fédération de nouveaux licenciés. -
Nous en avons besoin – Nous partageons en tant que cyclistes et voyageurs avec les autres citoyens la responsabilité de la sauvegarde de la planète.
– le vélo en général et le Gravel en particulier par ses multi-possibilités peut faire partie de la réponse. Encore faut-il mettre en place les différentes pratiques d’une part et développer une attitude éco-responsable permanente d’autre part. -
Les principales résistances au changement :
– Les habitudes, style « on n’a jamais fait ça… » et autres réactions face à la « mode » des « ayatollah » de tout poil et des « gardiens du temple » qui se sont autoproclamés « sauveurs de la pensée officielle » …
– La culture ambiante, le vocabulaire… mots à consonance US contre anciennes appellations (« cyclo-muletiers », « routiers », « règlements » et pratiques des « réseaux sociaux »
– les difficultés d’organisation dans la mise en place des nouveautés.
– Les financements (éventuellement)…
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« les gens qui n’aiment pas le vélo nous ennuient, même quand ils n’en parlent pas » (Michel Audiard) -